Verrerie du Hang

Article de "L'ESSOR" de Schirmeck , numéro 135 (épuisé) de juin 1987.

                            

Verreries et Verriers d'Alsace
                                                       
LA VERRERIE DU HANG


La clairière du Hang que traverse la Bruche naissante est un site idyllique et méconnu, mis en valeur par les verriers tout d'abord, puis par les anabaptistes qui prennent la relève.

C'est des premiers qu'il sera question dans les lignes qui suivent, grâce aux recherches longues et ardues de M. Antoine STENGER que nous remercions pour cette première collaboration.

Ingénieur "Arts et Métiers", administrateur de caisses de la Sécurité Sociale, l'auteur a dirigé de 1957 à 1972 les verreries de Trois-Fontaines, voisines géographiquement de celles de Vallérysthal. Né au pays du verre, intéressé depuis longtemps par l'histoire des verriers - peut-être parce que les STENGER étaient déjà verriers au XIVè siècle - nul n'était aussi qualifié que lui pour faire revivre le temps d'une lecture le passé étonnant du Hang.

                                                                                                                                  La Rédaction


La verrerie du Hang
La verrerie du Hang, créée par des verriers de Ribeauvillé et de Ronchamp, fut construite en 1723 (1). Jusqu'au 18ème siècle, les verriers étaient en effet très mobiles, à la recherche de forêts de hêtres pour alimenter leurs fours.

En décembre 1722, Nicolas GEBURTH, verrier et tailleur de verre, époux d'Agnès BRETZNER vend sa part de la verrerie de Ribeauvillé. A la même date (1) Elisabeth-Eve MATHIS, veuve de Samuel GREINER, maître-verrier, vend 3 places de la verrerie en son nom et au nom d'Agnès, de Jean-Georges, de Martin BRETZNER, d'André GREINER, tous verriers. La vente se fit aussi au nom des enfants de Bartholomé BRETZNER, maître-verrier décédé, époux de Marie GREINER de Walscheid. lequel Bartholomé participa à la mise en route et à la marche de la verrerie de Plaine de Walsch au pays de Sarrebourg de 1707 à 1721 (2)

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                                                        Emplacement de la verrerie.

Toutes ces personnes vont se trouver au Hang, au pied du Climont (Weinberg) près de Bourg-Bruche, sur le Territoire appartenant à Jean-Henri d'Anthès (1769-1733) maître de Forges, fils de Philippe Michel Anthès, originaire du Palatinat. Directeur des forges de Belfort, il devint fermier des mines du Ban de la Roche et des forges de Rothau en 1724 et fonda en 1730, sur l'Ehn, une forge de sabres et d'épées qui devint Klingenthal et porta le titre de Manufacture Royale d'armes blanches d'Alsace. Il fut anobli en 1730 (3).

L'acte du bail de la verrerie ne nous est pas parvenu, mais tout au long de son existence on relève, lors des inventaires des successions, les redevances que les verriers doivent à d'Anthès (4)

Nicolas GEBURTH (5) qui sera prévôt jusqu'à son décès en 1726, aidé de son futur gendre Melchior SCHMIDT (6) venu de la verrerie de Ronchamp et des verriers déjà nommés, construisit un four ayant probablement 6 pots, au milieu de ce qui devint la clairière actuelle du Hang.

Vinrent se joindre à eux les verriers Christian GREINER, Pierre SPIES, époux de Madeleine DIES, veuve de Jean-Georges BRETZNER, Jean ROHR (Rôhrly) époux d'Anne Marie BRETZNER et Conrad WENCK (7), lequel sera en 1732 pour quelques années à la verrerie de Grand Soldat. Martin BRETZNER succéda à GEBURTH comme prévôt.

En remarquant que Martin BRETZNER était marié à Elisabeth MATHIS et qu'André GREINER est l'époux d'Anne Barbe RASPILLER issue d'une autre grande famille de verriers, on voit combien le cercle des verriers était fermé. Les veuves se remariaient rapidement avec un verrier veuf ou célibataire.

Entre 1730 et 1750, les maîtres de la verrerie sont Ursus (Urs, Dors) MATHIS époux d'Élisabeth SIGWART, qui a quitté la verrerie de Ribeauvillé à son extinction vers 1733, père de Chrysostome et Melchior, tous verriers, Victor, Melchior et JeanGeorges BRETZNER, Jean-Baptiste RASPILLER époux d'Elisabeth GREINER.

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Signatures de  André Bâcher, Melchior Gresli, Georges Grâssely,
Marie-Anne Bâcher, Jean-Georges Bretzner.


Chrysostome MATHIS cède en 1759 sa maison à son frère Melchior, mais garde la maison de leur père. Il retournera à Ribeauvillé où il est emphytéote en indivision avec son frère de 6 dixièmes du terrain et des droits de la Petite Verrerie suivant bail accordé le 19.9.1741 à son père Ursus. Bourgeois de Ribeauvillé, il sera Conseiller du Magistrat de la ville, tout en continuant à s'occuper de la verrerie du Hang.

C'est l'époque où le relevé du diocèse de Strasbourg cite que le Hang, annexe de Saâles, comprend 10 familles catholiques (8).

La verrerie s'est éteinte vers 1771 date à laquelle la présence des verriers n'apparaît plus au Hang, En avril 1769, étaient encore présents les maîtres-verriers Chrysostome MATHIS, Joseph et Victor BRFTZNER, Jean GEBURTH, Jean RASPILLER, les marchands de verres Melchior et Georges BRETZNER et André BÄCHER, qui décédera en 1790.

La fabrication
Elle consistait en verres de table: gobelets, verres à pied, bouteilles, carafes dont voici les dénominations: "gobelets façon de Bohême nus ou gravés, mazarins gravés, gobelets mazarin, quantines d'un pot, carafes d'un demi pot et d'une chopine, des gobelets d'une chopine, des verres à schnaps, des verres de Hollande, des verres cristal de Bohême". A cette époque on appelait cristal de Bohême du verre extra blanc, limpide, à différencier du verre ordinaire qui gardait toujours une légère coloration verte. Ajoutons encore les verres à confiture, les verres de lanterne, les verres à anse dont certains sont taillés, des salières, des verres à anneaux accrochés par des anses appelés encore verres-sonnettes (Schellgläser). Le marchand de verres Abraham STAUB, habitant le Hang, mais qui était aussi en relation avec les verreries de Ronchamp et de Ribeauvillé, avait encore en 1729 dans son magasin des chandeliers, des boules à pied, des tabatières, des gourdes, des vases à fleurs. Le touret de tailleur existant à l'inventaire de Nicolas GEBURTH en 1726, a certainement continué à servir à l'un de ses fils. Mathias GETSCHY, qui était peintre sur verre à la verrerie de Harreberg en 1737, a été un certain temps, à l'entour de 1745, graveur au Hang.

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La fabrication de la gobeleterie.
Gravure extraite de "Le verre" E. Peligot. 1877
                                                                                             

Chaque maître-verrier travaillait pour son propre compte comme l'attestent les inventaires établis après leur décès. Chacun gérait ses matières premières, ses outils, sa production. Ces inventaires se faisaient toujours en présence d'un collègue verrier, en général tuteur des enfants mineurs et l'estimation du montant du stock de verres était faite par l'un des marchands de verres. Sont mentionnés la part que le verrier avait dans la verrerie (en général une place, c'est-à-dire un pot du four), les quantités de sable, de cendres à faire du salin, de salins, de terres de France, de Pfortzheim, de Pfaffenheim (pour la confection des briques réfractaires et des pots), de pierres calcaires, de chaux, d'oxyde de manganèse qui enlève la teinte verte donnée au verre par l'oxyde de fer contenu dans le sable, de cobalt qui éclaircissait aussi le verre, d'arsenic, de groisil (cassons de verres de récupération mélangés à la composition à enfourner). Melchior MATHIS disposait même vers 1750 de mercure, qui de ce temps servait à argenter le verre.

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Tourets de gravure mus au pied


L'approvisionnement en bois de chauffage du four se faisait en commun. En 1743 on craint la fin de la fabrication du verre par manque de bois (la veuve de Samuel GREINER considère qu'il est préférable pour cela de céder sa part à Urs MATHIS). A la même date la verrerie disposait de 242 cordes (à 4 stères environ) de bois schlitté entreposé au pied du Climont et 530 cordes coupées et restées dans la montagne. En 1766, la réserve était bien plus importante et valait 11.644 florins; la majorité provenait du "Steindapoi" et comprenait du sapin.

Les moules permettant de former les verres étaient en terre cuite, en bois, mais également en laiton. Melchior BRETZNER disposait en 1769  (9) de moules en laiton pour les vases à fleurs, pour les verres de garniture, pour les verres dits de Bohême, pour les verres à alcool, pour les gobelets, pour les salières, pour les boutons de verre. Il possédait en 1764 le livre "Ars vitraria experimentalis" (de Kunkel), un des premiers traités imprimés relatif à la fabrication du verre.

La vente
La vente des verres était réservée aux marchands de verres établis au Hang. Dès le début ce fut Abraham STAUB qui était déjà marchand à Ronchamp et qui a dû venir avec Melchior SCHMIDT. Abraham STAUB décède en 1726. Ses fils Antoine et Félix continueront la vente des verres.

En 1734 sont cités comme autres marchands, Maurice PERRET, Charles THIRIET, Joseph MACHET, Bastien et Jean HUMBERT, ce dernier résida au Hang jusqu'en 1763.

Furent également marchands Maurice CHAFORT, gendre d'Abraham STAUB et Michel GRÄSSELY ainsi que ses 2 fils Melchior et Georges.


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Le Colporteur d'objets en verre au XVlllème siècle.
(Dessins C. Jérôme d'après une gravure ancienne).
                                         


Anne SCHELL, veuve de Michel GRÄSSELY, épousera en 1743 le fils aîné du fermier anabaptiste du Hang. André BÄCHER qui poursuivra le comrnerce de verres et sera aussi cabaretier. Melchior GRÄSSELY se liera avec la jeune soeur de son parâtre Anne Barbe BÂCHER et Georges GRÂSSELY épousera Madeleine SCHMIDT. Tous les trois perdront leurs épouses et se remarieront une seconde fois. En épousant Marie-Elisabeth SCHMIDT de la verrerie de Clairefontaine, en 1764, Melchior GRÂSSELY en deviendra copropriétaire et y travaillera.

Les marchands de verre ainsi que l'un ou l'autre verrier possédaient des tourets à tailler et à graver les verres. Ils disposaient, avec les tourets mus au pied, d'une trentaine de disques en cuivre de divers diamètres pour la gravure, de meules en pierre et en fonte pour le taillage.

Les verres étaient emballés en caisses pour l'expédition.

La clientèle se trouvait à Saint-Dié, à Saumur, à Nantes, à la Rochelle, à Poitiers, à Angers, à Tours, à Blois, à Rouen, à Paris et probablement dans bien d'autres villes de France  (10).
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Le "crieur de verres" aux alentours de 1750. Photo Essor).


Un autre moyen d'écouler la marchandise était pratiqué par les "colporteurs de verres" ou "hottiers" ou "raffiers" qui parcouraient la campagne.

Portant une curieuse hotte en L chargée d'autant de marchandise qu'il était possible de soulever, ils couraient les chemins aussi longtemps que nécessitait la vente complète.

L'arrêt dans les auberges des villages leur fournissait l'occasion de démontrer la solidité de leur verre par des tours de mains évitant la casse (11).

Dans les grandes villes, les objets en verre les plus courants - flacons, gobelets, attrape-mouches, bouteilles - étaient commercialisés par des "crieurs de verres" qui faisaient partie de la grande famille des commerçants ambulants, autrefois si nombreux et divers.

Cette activité ne faisait pas l'affaire de la corporation des marchands de verres de Strasbourg qui s'en plaignit en 1717. Défendant leur monopole, ces derniers n'acceptaient pas que les colporteurs fassent du porte à porte. Déjà en 1706, ils demandaient que cette concurrence ne puisse vendre sur les marchés  (12).

La vie des verriers
Pour leur subsistance les verriers étaient obligés de s'adonner à l'élevage et à la culture. Les nombreux inventaires établis à la suite des décès nous révèlent l'importance de cheptel et la quantité de provisions. La plupart des familles avait 4 vaches, 1 génisse, 3 porcs, 4 à 12 poules, éventuellement 1 paire de boeufs, aussi bien pour amener le bois que pour labourer, ou un cheval avec selle et quelques chèvres.

Pour l'habillement les réserves de lin, de chanvre, d'étoupe étaient courantes. Les provisions alimentaires comprenaient outre le foin pour le fourrage des bêtes, des boisseaux de grains, d'orge et de seigle, de la farine, du jambon, du saindoux, du beurre fondu, du suif, du lard, de la viande de porc, de la choucroute, du fromage de Suisse, des oignons, du sucre, des oeufs! Jean-Georges BRETZNER avait en 1762 des pommes de terre et de l'huile d'olive.

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Signatures de Meichïor Schmidt, Jean et Victor Geburth, André Bächer,
Signes de Claude Gervet, Ursus Mathis, Joseph Geburth.


Les inventaires ne manquent pas de signaler les pistolets, les fusils et les couteaux de chasse. Abraham STRAUB partait en voyage avec une épée.

La vie religieuse catholique paraît avoir été intense: chaque famille possédait des livres saints: l'explication de l'évangile, la vie des Saints...

Une chapelle dédiée à Saint Laurent avait été construite par les verriers. La visite pastorale de l'Evëché à l'entour de 1760 la signale  (13).. Il semble que les verriers du Hang aient vénéré particulièrement Saint Laurent comme le feront les verriers de Hartzwiller en 1932, lors de la création de leur verrerie, en élevant dans la cour de leur usine une statue en son honneur.

Bien que la communauté dépendât de la paroisse de Bruche, la chapelle servait quelquefois à la célébration de la messe.

L'ermite qui la gardait y tenait aussi école pour les enfants  (14).
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La clairière du Hang dominée par le Climont
et traversée par la Bruche naissante.(Photo C. J. /Essor).



L'extinction de la verrerie.
En fin de bail, le canon de la verrerie est versé au Préteur Royal de Colmar et la dîme revient au curé de Saâles.

La verrerie s'est éteinte en 1770. Dès les années 1750 un rapport de l'intendant d'Alsace (15) prévoit que la verrerie du Hang "est prête à tomber faute de bois, les forêts des environs étant totalement dégradés". Parmi les familles restées au Hang en 1770, citons celles des marchands verriers Georges et Melchior GRASSELY (ils iront à Clairefontaine), d'André BÄCHER, de l'ancien verrier Melchior BRETZNER, de Pierre HUG dont le fils Jean travaille à Saint Louis et les 2 gendres Biaise BERSCHIG et Victor GEBURTH à Baccarat.

Les héritiers de Jean-Philippe d'Anthès (1699-1760) fils de Jean-Henri (1670-1733) partagèrent le territoire du Hang en 1776. La Bruche qui prend sa source au Climont coule au milieu et partage exactement la propriété en deux. Une partie ira à de Predelys, Lieutenant Colonel d'Infanterie, Ingénieur en Chef à Neuf-Brisach, époux de Marie-Françoise d'Anthès, l'autre à Joseph de Muller, Conseiller du Roi au Conseil Souverain d'Alsace et Préteur Royal à Colmar, et aux enfants de Marie-Elisabeth d'Anthès sa défunte épouse  (16).

Les verriers ne tardèrent pas à quitter totalement la clairière du Hang. Celle-ci continua de prospérer avec l'arrivée de nombreux fermiers mennonites. André BÂCHER, prévôt, décédera au Hang en 1790. Quelques pierres calcinées, des réfractaires glaçurés, des débris de verres garderont sur le terrain le souvenir de l'existence de la verrerie.

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Vestiges de la fusion du four trouvés au Hang.
(Colt. part. Photo C.J./Essor).


Toute la clairière s'étant transformée en pâturage, seul le hasard permet de trouver ces vestiges; à l'occasion de plantation de piquets, des échantillons de verre amalgamé au réfractaire du four, de la taille d'une noix, furent mis à jour.

II est rare de trouver des fragments de verres façonnés. Ceux-ci étaient systématiquement récupérés pour être refondus. Leur mélange à la composition de base améliorait la fusion et permettait d'économiser du combustible.
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Borne délimitant la propriété du Hang.
(Dessin de C. JERÔME).



Une verrerie au charbon
Un filon de charbon fut découvert à l'entour de 1740 près du village de Lalaye au Val de Ville. Le Baron Mackau d'Hurtigheim "Stettmeister au magistrat" de Strasbourg obtint en 1746 le privilège de le faire exploiter (15).

Cette présence du charbon incita le sieur Stedel, négociant à Strasbourg, à créer, dans le val, une verrerie alimentée par ce charbon. II obtint en 1749 un arrêt du Conseil l'autorisant à créer cette verrerie.

Le rapport de l'Intendant d'Alsace (15) signale le fonctionnement de cette verrerie. Mais c'est le seul document dont nous disposons. De telles verreries existaient en Angleterre et à la même époque il était question d'employer le charbon dans les verreries de la Sarre.

                                                                                                                        Antoine STENGER                                                                                                                                                                                                 


NOTES
1) A.D.H.R. E. 1683. Date dégagée des actes de vente des droits des premiers verriers sur la verrerie de Ribeauvillé en vue de s'établir au Hang.
2) STENGER Antoine. Verreries et verriers au pays de Sarrebourg (bulletins municipaux de Sarrebourg, 1982-85). La verrerie de Plaine de Walsch devint plus tard la verrerie de Vallérysthal qui dépassa le millier d'ouvriers en 1900. Bartholomé BRETZNER, lors d'un voyage à Ribeauvillé mourut lors de son retour à Obersteigen ayant eu l'extrême onction aux Trois-Epis. Son père Jean Georges était originaire de Salzbourg. Marguerite-Eve MATHIS avait épousé en 1ères noces Georges BRETZNER décédé en 1694, d'où les enfants cités.
3) Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne.
4) Notariats Anciens de Ville, A.D.B.R. dossiers 18-23-111.
5) Ce nom se rencontre aussi sous la forme Burt, Kibourg, Chibourte, Quibourg, Kipour.
6) Melchior SCHMID est né à Oderen, paroisse de Wildenstein, en 1702 où son père était verrier avant d'aller à Ronchamp. 11 quittera le Hang pour la verrerie de Claire Fontaine où il décéda à 76 ans.
7) WENCK décédera à la verrerie de la Grande Combe des Bois (Doubs) en 1759. Sa veuve rejoindra ses fils verriers à Lettenbach et terminera sa vie près de la verrerie de Harreberg.
8) A.D.B.R. G 2688
9) Notariats Anciens de Ville A.D.B.R. dossier 23.
10) Liste des débiteurs dégagés des inventaires de succession, dossiers exploités: 18 à 23 et 104 à 112.
11) ROBISCHUNG F.A. Mémoire d'un guide octogénaire, 1883.
12) A. M. Strasbourg : Steftzzunft (corporation de l'Echasse) p. 5. En l'occurrence, ces reproches s'adressaient alors aux colporteurs de verres de Waltenbourq et de Rosteig.
13) AD.B.R. G 2688; Visite pastorale de 1758 à 1763.
14) B.N.U. Ms 812, de Hautemer: Description topographique, historique et généalogique de l'Alsace 1783.
15) A.D.B.R. 4 J 3 Rapports de l'Intendant Mégret de Serilly 1750-1752.
16) A.D.B.R. 6 E41-168. Le terrain est mitoyen avec celui de Jean BÄCHER.
 

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